RT26 Le Contrôle de la Natalité
Les gonades de la femme sont les ovaires, les seins et l'utérus,
et celles de l'homme sont les testicules, le phallus et
la glande prostatique. Il est ostensible que ces glandes
génératrices se trouvent être, au fond,
de merveilleux micro-laboratoires sexuels.
Il est indubitable que lesdites glandes possèdent
une double fonction, car elles ont une sécrétion
interne et une sécrétion externe. S'il est
bien certain que les ovaires produisent l'ovule, il n'en
est pas moins évident qu'ils incrètent une
formidable substance endocrine qui vitalise la femme et
la rend féminine. Il est tout à fait vrai,
effectif et réel que les testicules ont l'Ens Seminis
(l'entité du semen) pour sécrétion
externe, dans laquelle flottent les zoospermes qui viennent
à être, de ce fait, les germes vitaux de l'existence.
L'incrétion hormonale intime de l'enveloppe des testicules
est le merveilleux pouvoir qui donne l'énergie à
l'homme et le rend essentiellement masculin.
Le
mâle normal est celui qui a des gonades masculines
normales. Les ovaires régulent très sagement
la distribution du calcium chez la femme, et cela est déjà
démontré. Un nombre trop élevé
de grossesses, pour des raisons de circonstances, engendre
les terribles cas d'ostéoporose ou déformations
ayant pour cause le ramollissement des os, lesquels sont
très communs dans les différents pays densément
peuplés du monde où nous vivons. On a pu vérifier
scientifiquement que les grossesses très fréquentes
usent vraiment toutes les réserves de calcium, et
alors il est évident que les os s'en ressentent.
N'importe
quel médecin peut vérifier, mettre en évidence
par lui-même, que beaucoup de femmes souffrent de
maux de dents lorsqu'elles sont enceintes.
Chez
les hommes, ce sont les testicules qui régulent le
calcium dans les os, leur donnant force et stabilité.
Les savants, au cours de nombreuses années d'observation
et d'expérience, on pu vérifier que l'homme
aux os très forts, est en général sexuellement
très viril.
Il
est tout à fait prouvé, par des observations
scientifiques profondes, que quelques-unes des glandes endocrines
agissent intelligemment comme des accélérateurs
des glandes sexuelles, tandis que d'autres diminuent cette
action.
D'éminents
biologistes, dont nous ne saurions douter, pensent que la
glande thymus retient l'appétit sexuel.
On
sait que les ovaires émettent un ovule tous les 28
jours en accord avec le cycle lunaire. Il est évident
que ce gamète féminin est recueilli dans l'une
des trompes de Fallope et conduit à l'utérus
où il doit retrouver le germe masculin (spermatozoïde),
si toutefois une nouvelle vie doit commencer. Il est démontré
à satiété qu'il n'existe, dans la vie,
de force plus péremptoire dans son expression, que
cet effort des germes masculins et du germe féminin
pour se rencontrer.
Le
contrôle de la natalité est un délit
; le contrôle de la fécondation est un devoir.
Il existe, en ces temps de crise mondiale d'explosion démographique,
trois systèmes absurdes pour le contrôle de
la fécondation : A Physique, B Chimique, C Biologique.
On
inclut dans le premier système : stérilets,
spirales, préservatifs, membranes, etc.
Le
second système comprend des pommades spermicides
à base d'arsenic, du mercure, etc. (poisons cellulaires).
Dans
le troisième système on trouve les pilules
contraceptives, la ligature des trompes ou du cordon spermatique,
des ovules, etc. (Samaël Aun Weor cite des produits
pharmaceutiques en usage au Mexique, NdT).
Il
est évident que tous les procédés physiques
de contraception, mécaniques à 100%, outre
le fait d'engendrer des destructions organiques très
souvent irréparables, relâchent radicalement
l'éthique humaine et conduisent à la dégénérescence.
Toutes les pommades appliquées au vagin causent des
irritations chimiques et des déséquilibres
dans les cellules du col de la matrice. Il ne fait aucun
doute que tous les anti-ovulatoires biologiques, évitant
la chute de l'ovule dans la matrice, causent un épouvantable
déséquilibre du merveilleux axe hypophyse-gonades.
Il
est indispensable de comprendre à fond le terrible
pouvoir de ces agents vitaux appelés lysosomes, sans
lesquels le noyau de la cellule organique ne pourrait jamais
être maintenu vivant. Toute lumière faite,
il est clair et manifeste que les lysosomes stabilisés
du zoosperme et de l'ovule engendrent sainement et fortement.
La pilule contraceptive et autres éléments
biologiques, chimiques, détruisent les lysosomes
des zoospermes et des ovules, engendrant alors des créatures
malades, folles, paralytiques, sourdes et muettes, aveugles,
idiotes, homosexuelles (masculines ou féminines).
Les hommes de science ont pu vérifier par eux-mêmes
que les pommades appliquées au col de la matrice,
dans le but de la bloquer, détruisent les lysosomes
cellulaires.
Ces
lysosomes détruits agissent librement en annihilant
des cellules, engendrant des ulcères et des cancers
des parois vaginales et du col de la matrice. Les lysosomes,
en pleine activité harmonieuse dans la cellule vivante,
constituent le fondement de l'existence.
Il
y a plusieurs formes de lysosomes :
amylases
(hydrates de carbone, enzymes provoquant l'hydrolyse des
glucides, NdT),
lipases
(enzymes provoquant l'hydrolyse des lipides, NdT),
catalases,
oxydases
(enzymes qui activent l'oxygène et le fixent à
l'hydrogène ou à d'autres corps, NdT),
peroxydases
(enzymes qui catalysent les réactions d'oxydation,
NdT),
protéases
(protéines, enzymes hydrolysant les protides, NdT),
hydrolases
(hydrogènes, enzymes catalysant la rupture d'une
liaison chimique avec fixation des éléments
d'une molécule d'eau, NdT).
Le
lysosome, en soi, est indubitablement un centre électromagnétique
enzymatique. Dans le noyau vivant de la cellule, demeure
le méson K, lequel, en irradiant vers la périphérie,
donne origine aux lysosomes intracellulaires, par le loi
de l'éternel Heptaparaparshinock.
En
harmonie avec l'infini, en contact avec la nature, se stabilisent
la tension superficielle, les pressions osmotique et oncotique
de toutes les cellules (globules rouges, zoosperme, etc.).
Le [F.a.b.], les détergents, les insecticides, les
pommades spermicides, drogues, hormones animales, monoxyde
de carbone, etc., détruisent les lysosomes des zoospermes,
ovules, etc.
L'air
vital hors des villes, le prana des bois, le soleil, l'eau
pure, etc., fortifient et enrichissent l'organisme en prodigieux
lysosomes. Les lysosomes sont, certes, les agents actifs
du fond vital (Lingam-Sarira). Il est indubitable que les
procédés physiques, chimiques et biologiques
en vogue pour le contrôle de la natalité, détruisent
les lysosomes, engendrant d'épouvantables maladies
et en finissent avec la vie.
Le
Mouvement Gnostique International a des procédés
et des méthodes scientifiques révolutionnaires
pour le contrôle de la fécondité. Notre
système a le formidable avantage de ne pas détruire
de lysosomes. Notre méthode construit des lysosomes,
enrichit l'organisme humain, le vitalise.
Je
veux m'en référer instamment au Sahaja Maïthuna
hindou, le fameux Carezza italien. Il existe une documentation
abondante concernant tout ceci dans le Kama-Kalpa, ainsi
que dans les oeuvres de tous les alchimistes médiévaux
: Sendivogius, Paracelse, Nicolas Flamel, Raymond Lulle,
etc. Il est lamentable que le Kama Soutra ait été
caricaturé et déformé de manière
monstrueuse, abominable, sinistre.
Les
biologistes, au cours de nombreuses années d'observation
ainsi que d'expérience directe, ont pu mettre en
évidence que les glandes sexuelles ne sont pas des
capsules fermées, car elles excrètent et incrètent
des hormones. Ce mot, hormone, vient d'une racine grecque
qui signifie soif d'être, force d'être.
Le
pouvoir vital des hormones est ostensible et étonnant
; les économiser, les incréter, les faire
retourner vers l'intérieur et vers le haut, dans
le saint propos d'enrichir la vie, n'est pas un délit.
On
a pu pleinement vérifier que les incrétions
sexuelles hormonales intensifient la production hormonale
de toutes les glandes endocrines. Le torrent sanguin conduit
les hormones sexuelles, les transporte, les met en contact
avec tous ces micro-laboratoires glandulaires. Non-éjaculation
du semen, voilà la façon radicale d'éviter
la fécondation et d'intensifier l'incrétion
hormonale.
Le
problème de la fécondation se trouve résolu
si l'homme évite l'éjaculation et la femme
l'orgasme. Théléma (Volonté). C'est
ce qui est exigé pour se retirer à temps avant
le spasme sexuel.
Le
désir sexuel réfréné fera monter
l'énergie créatrice ; c'est ainsi que le cerveau
se séminise et le semen se cérébralise.
Le semen peut, évidemment, se transformer en énergie,
comme il est indiscutable que l'énergie sexuelle
monte au cerveau. Il est certain et manifeste qu'il existe
des canaux nerveux spécifiques pour l'ascension de
l'énergie sexuelle ; le bistouri, malheureusement,
ne pourra pas les trouver car ils appartiennent à
la quatrième dimension.
Je
veux me référer, maintenant, de manière
concrète, à cette paire de cordons connus
en Inde sous le nom d'Ida et Pingala. Ida, chez l'homme,
part du testicule droit et Pingala du testicule gauche ;
chez la femme, cet ordre s'intervertit et les cordons partent
des ovaires.
Ces
deux canaux, fins à l'extrême, se nouent gracieusement
dans l'os coccygien et montent ensuite comme deux serpents
enroulés dans l'épine dorsale jusqu'au cerveau.
L'ascension continuelle de l'énergie sexuelle le
long de ces canaux nerveux nous transforme radicalement,
nous transforme en Mutants (Génies). Nous sommes
en train de parler concrètement du Sahaja Maïthuna,
du Sexo-Yoga, du Tantrisme Blanc. C'est l'unique système
qui soit sain pour résoudre le très grave
problème de l'explosion démographique. C'est
la clé pour contrôler de manière intelligente
et sans aucun préjudice la fécondation humaine.
Le
sacrifice épouvantable que représente la non-éjaculation
pour les personnes luxurieuses est un fait certain. Il convient
d'affirmer que la nature ne fait pas de sauts ; le débutant
peut, doit même réaliser le changement progressivement.
Si l'on veut réellement consolider, affirmer, fixer
notre système, je considère nécessaire
de commencer par des pratiques sexuelles courtes, de durée
très brève, d'une à cinq minutes par
jour, tout au plus.
On
peut ensuite, évidemment, allonger la durée
de chaque pratique. Les grands athlètes du Sexo-Yoga
peuvent pratiquer le Sahaja Maïthuna pendant une heure
par jour. Il n'est absolument pas convenable de commencer
par de longues pratiques sexuelles ; le changement doit
se réaliser de manière méthodique,
avec une infinie patience, sans aucune défaillance,
jamais.
Le
mouvement du phallus dans l'utérus doit être
lent et très doux ; on devra éviter toute
violence. Il convient de se rappeler que si les mouvements
sexuels se font très forts, le résultat est
le spasme accompagné d'une lamentable perte de liqueur
séminale. Quand survient le danger d'éjaculer,
on l'évite par le contrôle de la respiration.
L'homme,
en ce cas, retire rapidement le phallus du vagin et se couchera
en décubitus dorsal (sur le dos) ; il retiendra ensuite
son souffle, fermant ses narines avec les doigts : index
et pouce. S'il doit recommencer à inhaler, il le
fera, mais de sorte à retenir son souffle le plus
possible.
Il
devra, à ce moment, se réfréner intensément
et imaginer que son énergie sexuelle monte par les
deux canaux Ida et Pingala jusqu'au cerveau. La femme peut,
doit même utiliser le même procédé,
afin d'éviter l'orgasme et la perte de liqueur sexuelle
féminine.
N'importe
quel Yogi dans la terre sacrée des Vedas connaît
le Sahaja Maïthuna, sait contrôler le danger
du spasme grâce à la rétention du souffle.
Le néophyte, s'il échoue au début de
cet effort, ne doit cependant pas défaillir ; il
apprendra, finalement, avec beaucoup de patience et d'effort.
Un des merveilleux avantages de notre système est
de conserver la puissance sexuelle pendant toute la vie.
Dans
le futur Message de Noël 1970-1971, nous enseignerons
la méthode pratique pour engendrer des enfants sains,
intelligents, forts, à volonté et dans un
ordre dûment planifié.